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Supplanter définitivement l’analgésie péridurale thoracique en chirurgie pulmonaire ?

Evaluer l’analgésie produite par l’association d’un cathéter paravertébral réalisé entre T4 etT8 (ropivacaïne 0,5% 30ml puis 0,2% à 8ml/h) et d’une analgésie intrathécale (sufentanil 0,2-0,3µg/kg + morphine 4-5µg/kg) à une analgésie péridurale thoracique (T4-T5 T5-T6 ou T6-T7, ropivacaïne 0,2%-sufentanil 0,5µg/ml, 8ml/h) conventionnelle au cours de thoracotomies.

Mesure de la réduction du volume d’AL lors d’un BIS échoguidé couplé à la neurostimulation et dissection de l’effet global sur chaque tronc primaire.

Déterminer le volume efficace minimal (VME) de bupivacaïne 0,5% (Bu adrénalinée 1/200000ème) anesthésique et analgésique dans 90% des patients bénéficiant d’un bloc interscalénique, avec en arrière-pensée la réduction de la parésie phrénique inhérente à cet abord lors de gros volume d’AL.

Effet d’une dose unique intramusculaire de déxaméthasone sur la douleur après circoncision. Etude randomisée contrôlée

Dans cette étude randomisée contrôlée les auteurs cherchent à démontrer l’effet analgésique post-opératoire d’une injection unique intramusculaire de déxaméthasone en complément d’une analgésie déjà assurée par un bloc pénien et une infiltration souscutanée d’analgésique au cours d’une chirurgie réalisée sous anesthésie générale.

Infiltration peropératoire de lévobupivacaïne après césariennes : étude randomisée en double insu contre placébo

La douleur cicatricielle après césarienne est fréquemment sous-estimée. Un article récent observe la présence d’une hyperalgésie cicatricielle chez 41% de femmes ayant eu une césarienne (Ortner et al, EJP 2013 ; 17 : 111-23) avec une association de cette hyperalgésie préopératoire et l’intensité des douleurs postopératoire lors de la seconde césarienne.

ALR périphérique et neuropathies préexistantes

Dans la pratique régulière de l’ALRp, les anesthésistes vivent avec la hantise de la lésion nerveuse définitive par un traumatisme direct de l’aiguille, un barotraumatisme entraînant soit un éclatement tissulaire ou une compression, soit une ischémie, ou une neurotoxicité de la substance injectée.