La concordance entre disposition d’un anesthésique local (AL) déposé au contact d’une structure nerveuse périphérique lors d’une anesthésie locorégionale périphérique échoguidée (ALRE) et efficacité reste encore mal définie même si des données cliniques ont évoquées une distance de contact entre AL et la fibre nerveuse comme un des éléments prédictif de succès.
l’infiltration tissulaire et le bloc au canal des adducteurs ont été développés pour faciliter la réhabilitation postopératoire au sein d’un protocole précis multidisciplinaire.
Le serratus plane block est indiqué dans l’analgésie de la chirurgie du sein (cancérologie et plastique), chirurgie thoracique (en alternative au paravertebrale et à la péridurale), en chirurgie urologique (néphrectomie par lombotomie) et chirurgie viscérale en complément du TAP bloc (cholécystectomie, hépatectomie…).
L’infiltration tissulaire est de plus en plus utilisée au cours de la chirurgie articulaire majeure, la plupart des programmes de réhabilitation l’intégrant comme substitue de l’ALR périneurale.
L’ANI s’installe progressivement au sein de notre pratique peropératoire mais aussi postopératoire (voir commentaire du papier des même auteurs dans i-alr, BJA 2013, 111 ; 453-9).
Evaluation du contenu gastrique par la surface antrale (SA) a déjà été évaluée en chirurgie conventionnelle mais peu en obstétrique.
Comparaison de l’adrénaline (Ad), l’intralipide (IL) et leur association pour la récupération hémodynamique chez le nouveau-né
L’étude rapporte le cas d’une analgésie locorégionale par bloc paravertébral échoguidé en association avec anesthésie générale pour une chirurgie de tumeur bénigne du sixième espace intercostal sur la paroi latérale droite du thorax chez un enfant de 9 ans en ambulatoire.
L’analgésie postopératoire dans la chirurgie mammaire carcinologique est au cœur de la prise en charge anesthésique, compte tenu des effets secondaires fréquents liés à l’utilisation de morphine et de la prévalence des douleurs chroniques postopératoires.
Le bloc interscalénique est le bloc le plus proximal du plexus brachial. C’est le bloc le plus adapté aux procédures chirurgicales proximales du tiers supérieur du bras et de l’épaule, approche para vertébrale du plexus brachial, au niveau des racines cervicales, pouvant procurer un bloc brachial et cervical.
Dans cette dernière décennie, nous avons pris conscience que la prise en charge de la douleur est une priorité aussi bien pour les patients que pour les cliniciens.
L’adjonction de déxaméthasone (DXM) à un anesthésique local (AL) est un sujet d’actualité « brulant ». Beaucoup de praticiens ont déjà intégrés cette pratique avec le souhait de couvrir une durée d’analgésie plus longue et réduire le recours aux cathéters.
Venez découvrir à travers cette vidéo commentée une nouvelle voie d’abord du nerf sciatique à la racine de la cuisse.
L’analgésie intrapéritonéale assure une analgésie pariétale efficace après laparotomie vs placébo. La douleur viscérale associée est souvent difficile à gérer, avec un bénéfice reconnu de l’analgésie péridurale mais pourvoyeuse d’effets secondaires pouvant réduire son bénéfice au sein d’un processus type « fast-track surgery ».
L’échoguidage dans le bloc sciatique a permis de mieux comprendre les causes d’échec de ce bloc sous neurostimulation et de sécuriser ce mode d’anesthésie en minimisant notamment les injections intravasculaires et intraneurales.
L’ophtalmologie est la première discipline chirurgicale pourvoyeuse d’anesthésies en nombre. Plus de 450 000 cataractes sont opérées tous les ans en France.
La compréhension et la prise en charge des syndromes d’hypotension du liquide céphalo-rachidien (LCR) ont évoluées en quelques années.
L’analgésie péridurale permet d’offrir une analgésie de qualité en période postopératoire ou lors du travail obstétrical.
Après des décennies de sous traitement de la douleur, les audits les plus récents ont montré un net progrès ces 20 dernières années. L’utilisation systématique et large de la Morphine a participé à cette avancée.
L’anesthésie locale tumescente (ALT), dont le principe a été décrit dès le début du XIXième siècle sous le terme d’hypo-dermoclysis, est une technique d’anesthésie locorégionale dont le principe repose sur l’infiltration souscutanée d’un grand volume d’une solution d’anesthésique local à faible concentration.
