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- à #9070
C est tres simple …..et vous allez decouvrir les realites economiques d un etablissement de sante en allant voir votre service comptable en charge du PMSI….et vous allez faire le point avec eux…..ils seront surement heureux de pouvoir valoriser vos actes et financer ainsi le couteux appareil d echographie que vous utilisez regulierement bien sur….mais cela n aura peut etr aucun interet puisque le financement des hopitaux (FFH) va etre revu…..retour de l enveloppe globale??? Et T2A pour les autres …lolol
à #9059Je lui fais…..une AG..pas vous?
à #9051Et voila un sujet interessant…et la proposition de bassam est certainement la meilleure
Je suppose qu il faut comprendre bloc poplite par voie laterale et non pas bloc du nerf poplite externe! Dans ce dernier nous serions moins etonne des lesions observees
Votre histoire est interessante a mes yeux car elle pose de maniere evidente la question de l interet de l echo vs neurostimulation dans la survenue des complications neurologiques…..car là le probleme est a ma connaissance loin d etre resolu, car operateur dependant comme tjs…du temps de la neurostimulation certains avaient de bonne foi des resultats proche de 100% alors que dautres “ramaient” a des chiffres tres inferieurs
Le debat prendra fin le jour ou la “pression” aura fait disparaitre la neurostimulation….on en est proche car une generation d ar arrive qui n a connu qu un echographe…..à #9055Je vous propose de retrouver et lire un papier de therese horlocker de 2002 dans AA …dont le resume est ci-dessous
We prospectively studied 1035 individuals undergoing 1214 epidural steroid injections to determine the risk of hemorrhagic complications. A history of bruising or bleeding was present in 176 (15%) patients. A platelet count was assessed in 77 patients before the epidural steroid injection; none was less than 100 x 10(9)/L. Nonsteroidal antiinflammatory drugs (NSAIDs) were reported by 383 (32%) patients, including 34 patients on multiple medications. Aspirin was the most common NSAID and was noted by 158 patients, including 104 patients on 325 mg or less per day. There were no spinal hematomas (major hemorrhagic complications). Blood was noted during needle or catheter placement in 63 (5.2%) patients (minor hemorrhagic complications). NSAIDs did not increase the frequency of minor hemorrhagic complications. However, increased age, needle gauge, needle approach, needle insertion at multiple interspaces, number of needle passes, volume of injectant, and accidental dural puncture were all significant risk factors for minor hemorrhagic complications. There were 42 patients with new neurologic symptoms or worsening of preexisting complaints that persisted more than 24 h after injection; median duration of the symptoms was 3 days (range, 1-20 days). Our results confirm those of previous studies performed in obstetric and surgical populations that document the safety of neuraxial techniques in patients receiving NSAIDs. We conclude that epidural steroid injection is safe in patients receiving aspirin-like antiplatelet medications. Minor worsening of neurologic function may occur after epidural steroid injection and must be differentiated from etiologies requiring intervention. IMPLICATIONS: Previous studies performed in obstetric and surgical populations have demonstrated that antiplatelet therapy does not increase the risk of spinal hematoma associated with spinal or epidural anesthesia and analgesia. We confirm the safety of epidural steroid injection in patients receiving aspirin-like medications.
ET VOILA CE QUE DIT LA LOI DES GRANDS NOMBRES….à #9056Comme tjs je patienterai qqs jours
Pour ma gouverne :
-dans quelle position a ete realise le BP assis ou DL?
-màdrin liquide ou gazeux?
Et pourquoi attendrai je qqs jours ? car je suis de plus en plus persuade que les cas de cephalees precoce que vous decrivez son imputables a des pneumencephales qui se resorbent tres vite..je pense donc qu attendre 48 h est raisonnable…ce n est qu un avis.
Tenez nous au courantà #9057Bonsoir
Racontez nous donc votre histoire (apres echec de reinjection d apd? Deuxieme rachi apres echec? Barbottage? Quellles posologies?……) et puis…6 heures de ventilation pour une rachi etendue me parait tres …long (c etait la nuit?)
Les mesavantures des conferes sont tjs enrichissantes….à #9048reponse la plus couramment proposée: c est en en 1960 par Gormley JB (Treatment of postspinal headache. ANESTHESIOLOGY 1960; 21:
565–6) puis l idee est reprise 10 ans plus tard par di giovanni AJ sur une serie de 50 cas….à #9045les situations sont multiples: naissance sous x,…ci dessous vous avez une bonne partie des reponses a vos questionnements…c est une partie de la loi dite kouchner
Article L1111-4 (CSP)
Modifié par Loi n°2005-370 du 22 avril 2005 – art. 3 JORF 23 avril 2005 rectificatif JORF 20 mai 2005
Toute personne prend, avec le professionnel de santé et compte tenu des informations et des préconisations qu’il lui fournit, les décisions concernant sa santé.Le médecin doit respecter la volonté de la personne après l’avoir informée des conséquences de ses choix. Si la volonté de la personne de refuser ou d’interrompre tout traitement met sa vie en danger, le médecin doit tout mettre en oeuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. Il peut faire appel à un autre membre du corps médical. Dans tous les cas, le malade doit réitérer sa décision après un délai raisonnable. Celle-ci est inscrite dans son dossier médical. Le médecin sauvegarde la dignité du mourant et assure la qualité de sa fin de vie en dispensant les soins visés à l’article L. 1110-10.
Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment.
Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, aucune intervention ou investigation ne peut être réalisée, sauf urgence ou impossibilité, sans que la personne de confiance prévue à l’article L. 1111-6, ou la famille, ou à défaut, un de ses proches ait été consulté.
Lorsque la personne est hors d’état d’exprimer sa volonté, la limitation ou l’arrêt de traitement susceptible de mettre sa vie en danger ne peut être réalisé sans avoir respecté la procédure collégiale définie par le code de déontologie médicale et sans que la personne de confiance prévue à l’article L. 1111-6 ou la famille ou, à défaut, un de ses proches et, le cas échéant, les directives anticipées de la personne, aient été consultés. La décision motivée de limitation ou d’arrêt de traitement est inscrite dans le dossier médical.
Le consentement du mineur ou du majeur sous tutelle doit être systématiquement recherché s’il est apte à exprimer sa volonté et à participer à la décision. Dans le cas où le refus d’un traitement par la personne titulaire de l’autorité parentale ou par le tuteur risque d’entraîner des conséquences graves pour la santé du mineur ou du majeur sous tutelle, le médecin délivre les soins indispensables.
L’examen d’une personne malade dans le cadre d’un enseignement clinique requiert son consentement préalable. Les étudiants qui reçoivent cet enseignement doivent être au préalable informés de la nécessité de respecter les droits des malades énoncés au présent titre.
Les dispositions du présent article s’appliquent sans préjudice des dispositions particulières relatives au consentement de la personne pour certaines catégories de soins ou d’interventions.à #9042Et bonjour
Et voila une histoire qui se termine mieux…mais
La moralite de l histoire est qu un blood patch possiblement efficace a ete realise au vu d une irm cerebro medullaire normale chez un patient cephalalgique
2 questions se posent:
-effet placebo?
-validite de l irm dans cette pathologie? Irm normale et cppd?
Vers ou va votre sentiment mes chers amis ?à #9037je vous propose de relire l histoire de “mon cadeau de noel” peut etre que vous y trouverez une inspiration…dans les histoire comme la votre je serai volontiers attentiste ou bien ferai un scanner pour peut ette trouvdr l explicqtion
à #9014A propos AL…je n ai jamais bien compris la “gamme” de concentration de la ropivacaine (2,5,7.5 et 10 mg/ml)… On a envie de se demander a quoi servent les fortes concentrations sinon a prendre des risques ….quel est votre sentiment?
à #9023Si l irm medullaire est normale -car lorsque vous dire que l irm est normale s agit il de l irm cerebrale seul ou du doublé cerebrospinal?- je ne botterais en touche….primum non nocere (cf l histoire a laquelle vous faites allusion)
à #9024Tres attache au moindre risque….je choisis le plus grand volume avec la plus faible concentration….en effet si erreur de programmation de sap avec lido a 5% il faudra avoir la chance avec soi ce jour la
à #8981A ce sujet voici la conclusion proposee par mon copain nicolas kluger dans un petit papier dans le lancet onco 2012 et qui releverait d un equivalent de pharmacovigilance ….observer est souvent plus interessant que philosopher sur des risques theoriques:
“The introduction in the dermis of exogenous pigments and dyes to obtain a permanent design (tattooing) represents a unique in-vivo situation, where a large amount of metallic salts and organic dyes remain in the skin for the lifetime of the bearer. The potential local and systemic carcinogenic effects of tattoos and tattoo inks remain unclear. Several studies have shed light on the presence of potential carcinogenic or procarcinogenic products in tattoo inks. We extensively reviewed the literature and found 50 cases of skin cancer on tattoos: 23 cases of squamous-cell carcinoma and keratoacanthoma, 16 cases of melanoma, and 11 cases of basal-cell carcinoma. The number of skin cancers arising in tattoos is seemingly low, and this association has to be considered thus far as coincidental.”
Jusqu a preuve du contraire….et les produits sont tres varies….pour info ils en existent fluorescents..c est ravissant la nuit en boite a ibiza LOLOL
à #9007Chers amis
Je ne peux que souscrire totalement a tout ce qui a ete ecrit precedemment…..mais je ne suis pas sur que bdz23 travaille dans le meme environnement geopolitique que le notre ou les,ruptures d approvisionnement ne sont pas courantes….connaissant bien l exercice dans des conditions atypiques je crois comprendre le questionnement de toufik qui cherche peut etre notre “soutien” face a une pratique qui le “chagrine”….. Les standards du monde industriel ne peuvent pas tjs etre ceux des PMA….mais on peut faire du tres bon boulot en travaillant a l “anciennne”…courage toufik et pas de complexe - AuteurMessages