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- à #15868
Bonjour c’est le décret sécurité : récupération fcts vitales donc levée complète
de diaporama est assez bien fait
https://www.iefsante.eu/wp-content/uploads/2021/03/Module-1-La-surveillance-en-SSPI.pdf
à #15831bonjour, oui selon le rapport bénéfice risque à condition de ne pas taper les vaisseaux notamment circonflexes latéraux – et de prendre en considération le risque d’hématome qui n’est pas mineur … non car c’est essentiellement le territoire sciatique qui est concerné par la douleur il suffit de demander au chirurgien de glisser un cathéter genre péridurale dans le paranevre du sciatique qu’il vient de couper enfin ces patients ont souvent (tjrs) une neuropathie … le mal est fait, et ne font pas de fantome ! l’intéret du cathéter fémoral et … quasi nul
à #15829tout simplement parce que la technique recommandées est le Bax et que l’infra présente un risque faible mais réel de PNO qui le fait réserver aux situations particulières. amitiés
à #15828tout simplement parce que la technique recommandées est le Bax et que l’infra présente un risque faible mais réel de PNO qui le fait réserver aux situations particulières. amitiés
à #15823bonjour, tout d’abord félicitation pour la gestion de la patiente … la diffusion epidurale est parfois surprenante en mosaique, latéralisée, suspendue … sans explication rationnelle ! il faudrait faire une épidurographie pour comprendre je me souiens d’une parturiente qui avait un défaut d’anesthésie en selle lors de ses 2 premières péridurales… ben pareil à la 3e ! peut être une adhérence circonférentielle sans compression de la queue de cheval
à #15774Bonjour,
la première chose à faire en libéral est de prévenir votre assureur, en public le service juridique et votre ETB est déjà informé. mettez de coté une copie du dossier sans modifications. La patiente écrira à la CCI qui mettra en cause les protagonistes, nommera un expert. Il y aura une expertise qui déterminera qu’il s’agit d’un aléa en l’absence de manquement sinon c’est l’assureur qui indemnise. selon mon expérience, il s’agit le plus souvent d’une atteinte au col de la fibula ou le fibulaire commun est le plus exposé et peu vascularisé donc sensible à l’ischémie ; le diagnostic différentiel avec une atteinte directe poplitée est quasi impossible. On considère qu’il faut attente environ 2 ans pour la récupération qui peut être incomplète. Je ne peux pax aller plus loin dans mon analyse sur le site
Olivier
à #15692Bonjour la rachi n’est pas contre-indiquée et l’AG non plus mais chacune présente des risques différents il faut l’informer des risques respectifs et choisir avec lui – le devoir de conseil – et bien tracer le choix
cordialement
à #15643justement la réticence envers la régionale pure n’est pas rationnelle – la peur d’être opéré éveillé est souvent plus forte que celle ne ne pas se réveiller – s’y ajoute des croyances ou des entendu dire ou un mauvais souvenir – in fine le refus du patient étant une contre-indication absolue, il faut anticiper pour éviter l’impasse. ma stratégie est d’anticiper et de créer la confusion pour obtenir ce que je veux du patient quand j’ai un rationnel en faveur de l’ALR (co-morbidités – airway difficile…) : “vous dormirez pendant l’opération mais on vous met pas de tube dans le poumon … c’est une sédation ! et je trace dans le dossier” – que pour la régionale périphérique chirurgicale, parfois pour la rachi mais c’est rare ! pour l’analgésie on peut tjrs faire autrement !
par exemple on ne fait qu’exceptionnellement une ag pour une main
en revanche on endort svt un enclouage de tibia chez un jeune pour son confort
bref je vois pas comment tu vas randomiser ou comparer! du coup
à #15615Bonsoir, en effet ces données ne sont pas répertoriées en france hormis l’enquete sfar d’auroy deja assez ancienne ou il y avait qq decès avec ALR
bon travail
à #15581d’une bradycardie et d’une hypotension. L’évolution est rapidement favorable
après injection d’atropine et d’un vasoconstricteur. Elle est vraisemblablement
favorisée par une stase veineuse dans les membres inférieurs (liée à la position
demi-assise) et à une stimulation sympathique intense (stress, adrénaline du
liquide de lavage). Le traitement préventif de cette complication repose sur une
perfusion de cristalloïdes et sur l’utilisation de bandes de contention mais reste
peu efficace . Pour contrôler l’activité sympathique, il paraît logique d’éviter
les solutions adrénalinées d’anesthésique local et de limiter l’adrénaline dans le
liquide de lavage. La preuve de cette hyperactivité sympathique a été apportée par
l’administration de b-bloquants ; cependant les b-bloquants ne doivent pas
être administrés en prévention de cet incident. Il semble que cet incident a été
assimilé par erreur à un syndrome de Bezold Jarisch . Dans notre expérience,
une sédation continue au propofol (AIVOC à 1 µg.ml-1) semble réduire de façon
significative l’incidence de ces syncopes .mapar 2012à #15578bonsoir, en poplité il y a 2 contingents tibial et fibulaire. l’atteinte la plus fréquente est une compression “positionnelle ” liée au bloc sensitivomoteur qui perdure environ 6h – le fibulaire est plus sensible à l’ischémie … quand le bloc s’est lévé le patient était il capable de relever les orteils ….il faut demander une IRM de la fosse poplitée – l’EMG est toujours discutable et opérateur dépendant mais nécessaire il faut croiser clinique et examens complémentaires amitiés
à #15532il n’y a pas de contre-indication – il faut noter l’examen clinique neurologique préalablement afin que l’on ne rapporte pas ultérieurement le déficit au bloc – on fait cela tous les jours en SOS Main – réimplantations, suture nerveuse au microscope … sous BAX par exemple
à #15531il n’y a pas de contre-indication – il faut noter l’examen clinique neurologique préalablement afin que l’on ne rapporte pas ultérieurement le déficit au bloc – on fait cela tous les jours en SOS Main – réimplantations, suture nerveuse au microscope … sous BAX par exemple
à #15468Bonjour, l’adrénaline réalise un garrot chimique, le chirurgien fait un complément d’hémostase. Pour nous, la Walant est contre-indiquée en cas de vascularisation compromise syndrome de raynaud, artérite évoluée, plaie avec risque ischémique… En circuit court ambulatoire le patient sort avant la levée de la vasoconstriction assez souvent. Chez nous c’est l’équipe chirurgicale qui valide la sortie en général. Pour ce qui est de la responsabilité, c ‘est anesthésiste et chirurgien in solidum avec un partage expert dépendant.
à #15359Bonjour,
on fait au contraire un bloc à la mépivacaïne et gérons l’analgésie en SSPI et ambu et la sortie après levée de bloc
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