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- à #9380
Bonjour,
L’absence de la veine cave inféreur favorise la congestion et la dilatation du réseau veineux epidural qui est sans valves. En conséquences dans des rares cas peut apparaitre des compressions des racines nerveuses et une thrombose veineuse la ponction peut favoriser l’hématome. La meilleue technique pour le diagnostique est l’IRM avec injection de gadolinium. Personnellement j’eviterai la péridural malgré qulques cas dans la littérature de réussite de la péridural. L’échpographie lombaire ne donne pas un diagnostique précis ni une aide à la ponction. Bien amicalementà #9378Bonjour,
juste une remarque à vouloir trop simplifier et banaliser l’anesthésie on finira par plus en avoir des MARs ou côter les actes, attention à ne pas ouvrir une porte qu’on ne pourra plus jamais fermer. Amitiésà #9375Exactement pour cette raison il faut privilégier le leasing, L’achat n’est pas un avantage et il faut investir dans un échographe dernière génération même si vous payez un peu plus cher. amitiés
PS: N’oubliez pas de prévoir dans le contrat la reprise de l’appareil par le constructeur à tout momentà #9368Bonjour,
Un conseil investissez dans un échographe nouvelle génération cela vous permettra une meilleure exploitation de l’échographe, prennez un leasing cela vous permettra d’évoluer en gardant quasiment la même mensualité . Avec les échographes évoqués par vous vous allez être vite fait limités. amicalementà #9358Bonnjour
Vous pouvez obtenir ca avec la ropivacaine 2m/ml(0.2%)20ml 5ml par nerf à bloquer, par contre bien tester votre patient avant de commencer l’intervention. Taux d’echec plus important Bien amicalementà #9353Bonjour,
pour completer la réponse de JCS , vous avez aussi le site http://www.freemedicaljournals.com, sur pubmed les articles gratuit sont signalés et sur research gate un certain nombre d’auteurs mettent à disposition leurs publications gratuitement. Je pense avec ça pas besoin de paypal ni visa. Amitiésà #9348Bonjour ,
Logiquement vous pouvez faire à un intervalle de 3-5 jours un 3ème Blood patch,
(Villevieille a , P. Pasquier a, V. Muller a, J.-M. Rousseau a, C. Le Marec a, D. Benhamou le service SOS-ALR1: (Analgésie péridurale obstétricale pour le travail : une brèche dure-mérienne, des céphalées posturales, trois blood patchs…AFAR 210:29; 803-806)
Cependant en cas d’un troisième échec il faut penser à utiliser les techniques d’injection de la colle de Fibrin qui donnent un bon résultat dans le cadre des céphalées rebelles aux blood patchs. amitiésà #9312Bonjour,
Cela dépend d type d’aiguille et de son gauge, nous pratiquons aujourd’hui des actes sous rachianesthésie en ambulatoire avec des aiguilles pointe de crayon 25G. Dans un vieux travail publié en Allemand (Abstract en Anglais) Jost U, Hirschauer M, Weinig E, Dörsing C, Jahr C. Anasthesiol Intensivmed Notfallmed Schmerzther. 2000;35:381-7. Sur 600 patients mobilisés toute de suite après la levée du bloc le taux de céphalées postrachi était 1,8% (11 patients)et le taux des céphalées nécessitant un blood patch était 0,17% (1 patient). Il est évident le chiffre peut varier d’une étude à l’autre mais personnellement dans ma pratique les malades sont levés immédiatement après la régression du bloc et nous n’avons pas fait un seul blood patch depuis > de 10 ans. Bien amicalement
PS: Sur le site vous trouvez une présentation de N.Dufeu sur rachi et ambulatoire et d’autres articles en recherchant rachianesthésie dans le moteur de recherche du siteà #9308Salut JP,
Je vois tu deviens Sinophile en ALR,de toute façon je ferai une APD +rachi combinées même ça made in China. Lol amitiés
PS pour info la main était déjà amputée donc pas besoin de BAX, pour la reconstitution je ferai une AG plus simple + Bloc analgésique .à #9305Bonjour,
L’échographie ne suffit pas pour protéger du risque hémorragique ni des lésions nerveuses , donc à mon sens il faut bien argumenter votre choix et prouver que vous n’avez pas d’autre possibilité en cas de problème. Bien amicalementà #9304Bonjour
On parle bien du déficit congénital de facteur V, il existe 2 types 1 un déficit homozygote avec un taux très bas 20% d’ou l’intêret de faire un TS. Un taux de Facteur V> 20% Permettra un déroulement normal de la chirurgie mais l’APD reste toujours déconseillée, à 50% de facteur V personnellement je pense la pose d’une APD est possible sans risque majeur mais à mon sens il faut argumenter bien votre choix en cas de problème, en règle générale en cas de doutes le principe de précaution l’emporte. Bien amicalement
PS Il est difficile de répondre à cette question sans avoir les détails cliniques de la patiente ATCDs, Age, Chirurgie précédente ,origine ethnique, bilan biologique, avis hemato etc….. car il existe bcp de facteurs pour prendre une décision.à #9083Bonjour JL,
je suis entièrement d’accord avec toi, pour cette raison j’ai envoyé une lettre à la rédaction et je ne pensais pas être seul concerné par cette question. De toute façon l’industrie de la neurostimulation finance plus les congrès que l’industrie de l’échographie, et l’avenir nous dira si l’abandon de la neurostimulation etait une bonne idée. Amitiés
PS dommage les journées des clubs ont disparues du calendrier de la SFAR, si non on pourra mettre une séance topo neurostim au club histoire de l’anesthésieà #9296Bonjour au Liban terre de ma naissance et de mon enfance
il est difficile de choisir un type d’anesthésie particulier à un malade immunodéprimé on revient a la fameuse équation bénéfice/risque. Le plus important pour nous anesthésistes ne pas aggraver le degré de l’immunodeficience, choisir la technique adapter, gérer les interférences médicamenteuses, prevenir l’infection. Chaque état de deficience immunitaire a ses particularités. Quelques avantages pour. l’ALR, ne modifie pas l’état immunitaire, maintien la voie orale pour le patient pour continuer son traitement, et évite l’inteference médicamenteuses d’autre part il existe quelques limites comme la présence des troubles de l’hémostase, la neurotoxicité des antiviraux, la présence des métastase en cas de rachi, risque infectieux + méningite. Cependant il ne faut pas oublié que la chirurgie, l’anesthésie générale, l’analgésie peuvent influencer l’immunité cellulaire. Je termine par le probable effet limitant des métastases des anesthésiques locaux. Finalement Il faut choisir une technique au cas par cas et surtout informer le patient des risques et complications possibles.Amitiéà #9294Bonjour,
Entièrement d’accord avec JC. Les produits génériques circulent partout vous croyez vraiment s’il existe un problème important de taux d’échec ou autre on gardera les produits en circulation !!! Evidement non !!!!! Nous utilisons de la bupivacaine, ropivacaine génériques depuis des années sans problème. Effectivement il faut chercher de côté des autres variables, il est étonnant qu’avec le même lot nous avons des dizaines de réussistes et un seul échec et on met la faute directement sur le produit. Si vous avez un taux d’échec anormal à mon sens il faut mettre le produit de côté pendant quelques semaines utiliser le même produit d’un autre labo puis revenir au premier voir si vraiment ça le problème. amitiéà #9280Bonjour JC,
Déjà sans bupivacaine liposomes nous avons des bons résultats avec les techniques d’infiltration et sans complications, 72 heures d’analgésie avec Exparel me semble bien mais reste à mon sens à connaitre la douleur après 72 H d’analgésie et à long terme . Je crois c’est le début de la fin de certaines techniques compliqués d’ALR voir de l’analgésie pratiquée par les MAR alors attention à l’évolution elle peut nous supprimer certaines de nos compétences LOL. Amitié - AuteurMessages